Vidéo-surveillance, prévention et innovation : la gestion des données personnelles

RGPDDans l'article de la semaine dernière, nous avons publié un article ayant pour objectif de vulgariser l'intelligence artificielle au service de la prévention des risques.

Mais lorsque nous évoquons les termes vidéo-surveillance, innovation, prévention, notifications, un autre sujet doit être abordé : la gestion des données personnelles.

Depuis le 25 mai 2018, avec l'instauration du RGPD, la conformité en matière de gestion de ces données à caractères personnelles est surveillée de prêt par le CNIL.

Qu'en est-il lorsque l'on ajoute des usages à un système de vidéo-surveillance ?

Quelques éléments de réponse !

Une réglementation pour encadrer le traitement des données

Le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD ou GDPR en anglais) à pour objectif d'encadrer le traitement des données dîtes à caractère personnelles. Le traitement prend en compte la collecte, le stockage, le transfert ou encore l'utilisation de ces données.

De façon générale, cette réglementation, qui contient au total 99 articles, est conçue pour permettre aux utilisateurs et aux individus, d'avoir le contrôle de leurs données personnelles.

En d'autre mots, le RGPD prévient la mauvaise collecte et l'utilisation abusive des données.

L'ensemble de ces mesures ne s'appliquent pas qu'aux utilisateurs humains, les robots sont aussi concernés ! Si un "chatbot" lorsque vous visitez un site internet, vous demande de renseigner votre e-mail, le RGPD s'applique de la même façon. Utiliser un robot pour y déroger n'est pas donc possible.

Les sous-traitants sont également concernés, à partir du moment où ils traitent des données personnelles pour le compte d'autres organismes ! Lire la suite de l'article...

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