En 2023, le risque numérique majeur n’est pas QUE technique

La pandémie de Covid-19 a contraint les TPE/PME à effectuer leur transition numérique à marche forcée.

En peu de temps, sans y être préparées, elles ont dû s'adapter à l'essor du télétravail, à l'abolition des frontières pro/perso, et au changement d'attentes des jeunes diplômés, désormais beaucoup plus tournés vers la flexibilité et le bien-être.

Or, ce développement de la digitalisation est du pain béni pour les hackers : le nombre de cyberattaques (phishing, ransomwares...) n'a jamais été aussi élevé. Près de 9 entreprises sur 10 ont été victimes de cybercriminels en 2022 et, en Europe, les cyberattaques ont augmenté de 26 % (source : étude Check Point Research).

Pourtant, si les pirates en ligne ciblent tout le monde, les entreprises sont loin d'avoir pris conscience de ces enjeux.

"On l'a vu en 2022, personne n'est épargné ! L'année dernière, Thales, les hôpitaux publics et privés, Orange Cyberdéfense, Deezer, Charlie Hebdo… se sont fait attaquer. Car si un hacker veut rentrer dans un système, il le fera.", explique Nicolas Thore, fondateur de Guiddy.

D'ailleurs, la médiatisation de ces cas emblématiques ne doit pas faire oublier l'essentiel : en France, 52 % des victimes de cybercriminalité sont des TPE-PME.

Dans ce contexte, Guiddy, le GPS de la cybersécurité, partage dans le CP en PJ les bonnes pratiques à adopter pour réduire au maximum le risque numérique et les solutions pour agir avec efficacité. Lire le communiqué...

Les derniers produits des risques professionnels