La biométrie comportementale pousse ses pions

Pour lutter contre la fraude et l’usurpation d’identité, le bon vieux mot de passe, l’authentification multifactorielle et la biométrie physiologique semblent parfois dépassés. D’où l’intérêt de l’authentification par la biométrie dynamique qui se base sur le mouvement, la démarche, la frappe sur le clavier…

Empreintes digitales, rétine, paume de la main, système veineux de la main… la biométrie traditionnelle, basée sur des mensurations, dimensions et caractéristiques particulières du corps humain se voit concurrencer par la biométrie comportementale qui promet de nouveaux gisements d’efficacité opérationnelle. Contrairement à la biométrie physiologique dont les caractéristiques physiques sont figées, la biométrie comportementale se fonde sur des caractéristiques comportementales dynamiques : la façon de bouger, la gestuelle de la signature (directions, pressions du tracé, forme…), l’intonation de la voix, la démarche, la frappe sur le clavier, la manière d’utiliser la souris… Lesquelles sont également très personnelles et constituent des moyens physiologiques d’authentification. Objectif : confirmer que l’on est qui l’on prétend être. Lire la suite de l'article...

 

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