Le coup de chaleur est souvent perçu comme un accident ponctuel, une urgence à traiter sur le moment.
Mais ce que l’on sait moins, c’est que ses conséquences peuvent s’inscrire dans la durée et laisser des séquelles parfois irréversibles sur la santé.
Depuis la parution du décret du 27 mai 2025, applicable à partir du 1er juillet, les entreprises ont désormais l’obligation d’intégrer le risque chaleur dans le DUERP et de mettre en place des mesures de prévention concrètes, dès les premiers signes de hausse des températures.
La responsabilité de l’employeur commence plus tôt, et la prévention doit désormais être anticipée, structurée et individualisée.
Car lorsque le corps dépasse les 40°C de température interne, il ne s’agit plus d’un simple malaise, mais d’un événement potentiellement traumatique pour le cerveau, le cœur, les reins… et bien plus encore.
Le coup de chaleur : un choc systémique
Le coup de chaleur (ou hyperthermie maligne) survient lorsque le corps n’est plus capable de réguler sa température face à une exposition excessive à la chaleur.
Contrairement à la fièvre (qui est un processus contrôlé par le corps), le coup de chaleur est un dérèglement complet des mécanismes thermiques internes.
Lorsqu’on dépasse 40°C, les protéines cellulaires se dégradent, les enzymes cessent de fonctionner correctement, et les organes vitaux commencent à souffrir. Le temps devient un facteur critique : plus la température reste élevée, plus les dommages sont profonds.
Le cerveau : une cible fragile
Le cerveau est l’un des organes les plus sensibles à la chaleur. Lors d’un coup de chaleur sévère, le risque de lésions cérébrales est élevé.
Les séquelles peuvent inclure :
- Troubles cognitifs durables : difficultés de concentration, pertes de mémoire, ralentissement de la pensée
- Altérations de l’humeur : anxiété, irritabilité, fatigue chronique
- Perte de coordination motrice : difficultés à marcher ou à écrire, tremblements
- Confusion persistante : même après refroidissement du corps
Des études ont montré que certaines fonctions cérébrales ne récupèrent jamais totalement après un épisode grave, en particulier chez les personnes âgées ou les sujets déjà fragiles.
Le cœur sous tension
En situation de surchauffe, le cœur est massivement sollicité pour tenter de refroidir le corps :
- Il augmente le rythme cardiaque
- Il redirige le flux sanguin vers la peau pour favoriser l’évacuation de chaleur
Mais cette surcharge peut provoquer des lésions myocardiques, voire une décompensation cardiaque, notamment chez les personnes ayant une pathologie cardiovasculaire sous-jacente.
À long terme, les survivants d’un coup de chaleur grave peuvent présenter :
- Une altération de la fonction cardiaque
- Un risque accru d’arythmies
- Une augmentation de la probabilité d’infarctus ou d’insuffisance cardiaque
Les reins : victimes silencieuses
On parle moins souvent des reins, mais ils sont directement touchés par la déshydratation et la défaillance circulatoire qui accompagnent l’hyperthermie.
Un coup de chaleur peut provoquer :
- Une nécrose tubulaire aiguë
- Une insuffisance rénale aiguë
- Dans certains cas, une évolution vers une insuffisance rénale chronique
Ces séquelles peuvent apparaître plusieurs semaines après l’événement, parfois sans lien clairement identifié avec le coup de chaleur initial, si l’histoire médicale n’est pas bien connue.
Une rééducation parfois longue
Après un coup de chaleur sévère, le retour à l’état normal n’est pas immédiat. Le corps met souvent plusieurs semaines, voire plusieurs mois à retrouver son équilibre.
Un suivi médical est généralement nécessaire, incluant :
- Des examens neurologiques et cognitifs
- Un bilan rénal et cardiaque
- Un programme de rééducation adapté, incluant repos, reprise progressive de l’activité, et renforcement de la prévention
Malheureusement, il est fréquent que les personnes touchées soient moins résistantes à la chaleur par la suite, ce qui les rend plus vulnérables aux futures vagues caniculaires.
La prévention : un enjeu vital
Le constat est clair : le coup de chaleur n’est pas un simple malaise d’été. Il s’agit d’un événement potentiellement traumatisant pour le corps, aux conséquences durables, voire invalidantes.
Et pourtant, il est évitable dans la majorité des cas.
Une alerte avant qu’il ne soit trop tard : la solution Canaria+
Conscient de cette problématique croissante, Biodata Bank, entreprise technologique japonaise, a développé Canaria+ : un bracelet intelligent capable de détecter les premiers signes de surchauffe corporelle… avant même l’apparition des symptômes.
Son fonctionnement :
- Il mesure en temps réel les variations de température interne (et non la température externe)
- Lorsqu’une élévation anormale est détectée (ex : +1,5°C), il déclenche une alarme sonore, lumineuse et vibrante
- L’utilisateur peut alors prendre une pause, s’hydrater, se mettre à l’ombre, avant que le danger ne devienne critique
Les + de Canaria+
- Autonomie 5 mois, sans recharge
- Pas d’ondes, pas de connexion
- Conforme RGPD
- Résistant à l’eau et à la poussière (IP67)
- Déjà adopté dans le BTP, l’industrie, les collectivités, les services de sécurité et de transport
Un contexte réglementaire renforcé
Depuis la publication du décret du 27 mai 2025 (applicable à partir du 1er juillet 2025), les entreprises ont l’obligation d’intégrer le risque chaleur dans le DUERP et de mettre en place des mesures concrètes de prévention.
Parmi celles-ci : fournir de l’eau fraîche, adapter les horaires… mais aussi proposer des outils de détection et d’alerte.
Canaria+ répond précisément à ce besoin.
En conclusion
Le coup de chaleur ne s’arrête pas à la fin de l’épisode.
Il peut laisser des traces profondes sur le corps et la vie des personnes touchées.
C’est pourquoi l’anticipation et la détection précoce sont les meilleurs remparts.
Canaria+ est un outil simple, autonome et validé pour aider les professionnels à faire face à la chaleur avant qu’elle ne devienne un danger.
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Ensemble, faisons de la prévention une évidence.
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