Le professeur de biologie moléculaire Gilles-Eric Séralini a mené cette étude dans le plus grand secret. D’abord afin de se procurer les semences OGM nécessaires à ses expérimentations. Et ensuite pour éviter que les puissants intérêts des industriels des biotechnologies fassent tout pour atténuer la publication de ces résultats fracassants.
La menace est là, bien réelle en France aussi
Le maïs OGM NK 603 peut être présent dans l’alimentation animale (destinée au bétail notamment) mais aussi dans des aliments vendus directement aux consommateurs. Dans ce cas-là, la réglementation française prévoit un étiquetage obligatoire indiquant la présence d’OGM en cas d’utilisation volontaire. Depuis le 1er juillet dernier, les produits qui ne contiennent pas d’OGM peuvent présenter la mention “sans OGM”. Une mesure attendue depuis longtemps par les opposants aux OGM… mais pas aboutie. Lire la suite de l'article...
Auteur : GREENPEACE.
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