Un mot de passe ridiculement faible protège les empreintes digitales de la police judiciaire

La CNIL a relevé de nombreux manquements dans le traitement de ces données sensibles. Le ministère de l’Intérieur a jusqu’à la fin de l’année pour se mettre en conformité.

La protection des données personnelles n’est visiblement pas la priorité de la police judiciaire. À l’issue de contrôles effectués en 2019, la CNIL a constaté une série de manquements concernant le traitement des données du fichier automatisé des empreintes digitales (FAED). Celui-ci rassemble les empreintes digitales de plus de six millions de personnes, théoriquement mises en cause dans des procédures pénales, accompagnées de diverses informations (sexe, nom, prénom, nature de l’affaire, etc.). Lire la suite de l'article...

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