Le cliché du hackeur malveillant boutonneux est aussi vieux que l'informatique. Mais ce stéréotype a aussi une part de vérité.
Est-ce le retour du péril jeune? Dans une conférence organisée par le Washington Post, Lisa Monaco, la procureure générale adjointe des États-Unis, a signalé son inquiétude à propos des groupes de jeunes hackeurs malveillants. Des Advanced Persistent Teenagers, ironise la newsletter spécialisée Seriously Risky Business, un clin d'œil à l’acronyme APT (Advanced Persistent Threat). Lire la suite de l'article...
Auteur : Gabriel Thierry, ZDNet.