Le projet du nouvel aéroport du Grand Ouest prévu pour 2017 veut répondre aux principes de Haute Qualité Environnementale, avec un bilan énergétique positif, des bâtiments basse consommation, une ferme photovoltaïque et une chaufferie au bois. La construction de deux pistes permettra de réduire le temps de roulage au sol des avions et de diminuer ainsi la consommation de carburant et les émissions de CO2.

La construction de l'aéroport entraînera pourtant l'artificialisation du bocage et la destruction de 150 mares qui se trouvent actuellement dans une zone humide. Est-il possible de restaurer ce milieu ? Quelles mesures sont prévues pour limiter l'impact sur la biodiversité ?

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• Visite virtuelle du futur aéroport du Grand Ouest
• "Le projet d'aéroport du Grand Ouest répond aux principes de haute qualité environnementale (HQE).", par le syndicat mixte d’études de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes
• L'Association Citoyenne Intercommunale des Populations concernées par le projet d'Aéroport de Notre Dame des Landes remet en question les aspects environnementaux du projet d'aéroport.
• La Ligue de Protection des Oiseaux, soutien que le projet d'aéroport du Grand Ouest entraînera la destruction de 150 mares, une fragmentation du milieu et la perte irréparable de la biodiversité locale.
• La Fondation Nicolas Hulot (FNH) remet en cause la pertinence d'un tel investissement car, selon la Fondation, il ne correspond pas au contexte actuel de précarité énergétique.

Auteur : Eco-Mobilité-TV