Comment une attaque, même d’une telle ampleur (« près de 300 Gbps de trafic vu par les grands opérateurs par moment » d’après la société de sécurité NBS System) dirigée contre une cible unique (Spamhauss), a-t-elle pu affecter, dans une certaine mesure (et de manière très variable), l’Internet mondial ?
La réponse est connue, comme le rappellent plusieurs experts en sécurité. Car le problème n’est en effet pas nouveau. Et il est à chercher du côté des serveurs DNS et de leur mode de fonctionnement, ainsi que de leur trop fréquente mauvaise configuration. Lire la suite de l'article...
Auteur : Christophe Auffray, ZDNet.