Malgré de nombreux appels de députés et de professionnels, le texte examiné aujourd’hui ne permettra pas de faire classer le burn out en maladie professionnelle.
Imaginez que vous rallumiez sur votre portable, une fois chez vous après 22h30 pour répondre à vos mails.
Imaginez que vous vous sentiez en porte à faux avec ce que l’on vous demande de faire: licencier des salariés par exemple, fabriquer des objets avec de mauvais produits. Lire la suite de l'article...