Ces dernières années, la transformation numérique a bouleversé les habitudes de consommation et a vu émerger de nouvelles technologies, dont la “blockchain”.
La blockchain est en effet très utile dans le domaine de l’agroalimentaire, car elle permet de répertorier l’ensemble des informations relatives à un produit tout au long de son cycle de vie.
Quel est le principe de la blockchain ?
La blockchain est une technologie de stockage d’informations qui a l’avantage de pouvoir être partagée sous la forme d’une plateforme entre plusieurs utilisateurs.
Ainsi, avant qu’un produit ne soit commercialisé, chaque acteur va pouvoir inscrire dans la blockchain les données relatives aux différentes étapes de sa fabrication (production/transformation/distribution).
Des plateformes collaboratives en pleine expansion
Plusieurs initiatives de blockchain ont déjà vu le jour dans l’agroalimentaire : on peut citer notamment le projet nommé “IBM Food Trust”, qui a pour objectif d’uniformiser les pratiques tout en ayant un standard commun.
Les données produites par les différents acteurs sont ainsi mutualisées, tout en optimisant les coûts de coordination potentiellement majorés par les initiatives individuelles.
Quel est l’intérêt de digitaliser son système de traçabilité ?
Tracer les informations concernant un produit, cela permet d’assurer la transparence des données tout en luttant contre d’éventuelles fraudes. Avec une solution digitale dédiée comme BlueKanGo, il est possible de s’affranchir des documents papiers et des échanges de fichiers Excel, sources d’erreurs et de perte de temps.
L’avantage de centraliser toutes les informations sur une même plateforme et de pouvoir retrouver facilement les données en cas de retrait ou de rappel produit, voire d’une non-conformité.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter l’intégralité de cet article sur le Blog QHSE.
Auteur : Mélanie Cascelli chez BlueKanGo.
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