L’entreprise, qui a remis ses oléoducs en ordre de marche, aurait presque immédiatement procédé au paiement de la rançon. Mais finalement, il était plus simple de restaurer les systèmes à partir des sauvegardes.
Les forces de l’ordre le disent sans cesse : ne payez pas les rançons demandées par les pirates. Dans le cas de Colonial Pipeline, ils avaient sans doute raison. Lire la suite de l'article...
Auteur : Gilbert KALLENBORN, 01net.