En matière de santé et de sécurité au travail, l’instinct ne suffit plus. Pour prévenir efficacement les risques et améliorer la qualité de vie au travail (QVT), les organisations doivent désormais s’appuyer sur des indicateurs fiables et actionnables.
Parmi les plus essentiels en 2025 :
- Le taux d’absentéisme, bien sûr, mais aussi la fréquence et la gravité des incidents,
- Le nombre de signalements liés aux risques psychosociaux,
- Ou encore le suivi de la mise en œuvre des plans d’action QVCT.
Ces données permettent de détecter les signaux faibles, d’identifier les zones à risque et de mettre en place des mesures concrètes. Elles transforment la QVT d’un concept abstrait en véritable levier de performance collective.
Certaines collectivités et entreprises vont encore plus loin. Elles croisent les indicateurs de santé avec des données comme l’âge, la pénibilité ou l’ancienneté. À Nantes, par exemple, la direction Petite Enfance a mis en place un tableau de bord combinant absences, reclassements, accidents et accès à la formation. Résultat : des actions ciblées ont été déployées pour mieux accompagner les équipes terrain.
Mais il ne suffit pas d’avoir des chiffres. Il faut aussi que les outils permettent de les collecter, les interpréter et les partager efficacement.
C’est là que la digitalisation entre en jeu.
Un tableau Excel ne suffit plus pour suivre les enjeux de santé au travail. En 2025, les organisations doivent s’équiper de solutions qui automatisent la collecte des données, fiabilisent l’information et rendent la lecture accessible aux équipes RH, managers et préventeurs.
Des indicateurs bien choisis, combinés à des outils adaptés, permettent de faire de la santé au travail un sujet concret, mesurable… et transformateur.
Chez SIGMA-RH, nous savons que ces défis ne sont pas toujours simples. Avec son module spécialisé en SST, notre logiciel SIRH global propose les outils nécessaires pour faire une vraie différence.
Auteur : Marie-Claude Marsolais, SIGMA-RH.
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