En France, les chutes de hauteur sont la deuxième cause de mortalité au travail et la troisième cause d’incapacité permanente et d’arrêts de travail. En effet, en 2010, les chutes de hauteur et de plain-pied représentaient à elles-seules plus d’1/3 des accidents de travail avec arrêt et 31,4% des décès.
Les chiffes montrent qu’un accident consécutif à une chute de hauteur entraîne en moyenne 85 jours d’arrêt de travail. Un décès peut coûter à l’entreprise jusqu’à 580 000 euros et une incapacité permanente de travail jusqu’à 4 000 000 euros, sans parler des coûts indirects (désorganisation, baisse de qualité, dégradation du climat social, etc.).
Selon l’article L4121-1 du code du travail, « l'employeur doit prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs ».
S’il est fréquent d’observer sur les chantiers que les opérateurs disposent d’équipements de protection individuelle tels que des harnais, des cordes…pour se sécuriser, force est de constater qu’une problématique reste très souvent en suspens : Je m’attache où ?
Pour approvisionner un chantier, poser ou enlever des garde-corps, poser une menuiserie, changer un volet roulant, réaliser une étanchéité, les poseurs déclarent souvent ne pas avoir beaucoup de solutions : Parmi celles-ci, ils avouent parfois choisir l’option de se sécuriser avec une sangle accrochée au balcon ou à un radiateur, ce qui est une hérésie sachant pertinemment qu’en cas de chute, ils ne seraient pas retenus. Et parfois, ils ne s’attachent pas du tout ! Parce qu’il s’agit d’une intervention de très courte durée ou que l’intervention est au premier étage - et donc pas impressionnante -, parce qu’ils ont l’habitude ou sont pressés de rentrer en fin de journée ou en fin de semaine... Ils s’exposent à des risques inconsidérés mais en ont-ils conscience ?
Pour le salarié victime d’une chute, le choc maximum supportable dans un harnais, sans risque de lésion est de 600 daN. Et il suffit de peu pour atteindre ce seuil! Par exemple, une chute de deux mètres de haut par une personne attachée à un point d’ancrage bas situé en dessous de l’utilisateur (facteur de chute 2) provoquerait immanquablement un choc dépassant largement la valeur admissible par le corps humain… et sans aucun doute par le point d’ancrage !
Selon l'article R.4323-61, « l'employeur doit préciser dans une notice explicative, les points d'ancrage, les dispositifs d'amarrage et les modalités d'utilisation du dispositif ». Le point d'ancrage, lui-même défini dans la norme européenne EN 795, doit être capable de tenir une charge statique d'une tonne. De plus, le dirigeant doit s'assurer de la correcte prise en main des équipements par le biais de formations et les faire contrôler tous les ans.
Le SYam : un point d’ancrage transportable en réponse !
Aucune solution n’existait jusqu’à il y a cinq ans pour travailler en sécurité au contact du vide et interdire toute chute. C’est pourquoi le SYAM, qui permet de se mettre très facilement dans une situation sécurisée lorsqu’il s’agit d’intervenir au contact du vide, est une innovation mondiale. Il fournit un point d’ancrage en hauteur (facteur de chute 0) interdisant ainsi tout risque de chute contrairement à un point d’attache situé en dessous de l’opérateur.
Le SYam : aucun effort au plafond !
Le SYAM est un EPI qui répond à la norme EN795 et résiste à des efforts jusqu’à 2770 daN. Cette structure télescopique de type parapluie se déploie sur le lieu d’intervention à l’intérieur, en moins d’une minute, en prenant appui au sol et de part et d’autre de l’ouverture contre les murs. Le plafond sert uniquement à stabiliser le système avant son utilisation. Il peut donc être installé sur du faux-plafonds. Il est utilisable par 2 opérateurs simultanément et permet une totale liberté de mouvement puisqu’on ne se tient plus d’une main pour travailler de l’autre. Simple, résistant, pratique, léger, le SYAM s’adapte à toutes les situations et peut être installé directement devant l’ouverture ou en retrait derrière une ouverture.
Le SYam : un outil de travail et une prise de conscience !
« Au même titre que l’on s’attache lorsque l’on monte en voiture, chaque poseur, couvreur, charpentier… devrait s’attacher dès lors qu’il travaille au contact du vide ». Tel est le crédo de SYAM Distribution qui propose le système. Parce que la vie n’a pas de prix et ne tient qu’à un fil, SYAM Distribution commercialise le SYAM accompagné obligatoirement d’une formation technique à l’utilisation. Celle-ci permet d’une part aux employeurs de se mettre en conformité avec la réglementation et d’autre part, aux poseurs de prendre du recul et de réfléchir sur leur pratique professionnelle au quotidien. Et les résultats sont là !
Le SYAM : de nombreuses vies déjà sauvées !
Le SYAM est aujourd’hui utilisé et plébiscité par de nombreuses entreprises de tout type (TPE, PME de tout corps d’état, Multinationales, Services publics, Services d’intervention des pompiers, Police…). Les applications sont nombreuses et les utilisateurs qui l’ont essayé l’ont définitivement adopté. Les témoignages d’accidents évités viennent conforter l’intérêt du SYAM qui est d’ailleurs subventionné par plusieurs CARSAT.
Le SYAM est à découvrir sur les salons EQUIPBAIE Stand C34 du 13 au 16 novembre 2012 - Paris Porte de Versailles Hall 1 et EXPOPROTECTION Stand 101 du 4 au 7 décembre 2012- Paris Porte de Versailles – Pavillon7.2.
Auteur : SYAM DISTRIBUTION
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