S’il opère seul, Olivier est équipé d’un micro-serveur clandestin préparé par l’équipe de HSC. « C’est un serveur de la taille d’un gros paquet de cigarettes, qui fonctionne sur secteur ou sur batteries, avec alors une autonomie maximale de six heures. Il dispose d’une connexion 3G et peut faire office de Point d’Accès WiFi avec une portée suffisante pour être exploitable depuis le parking de l’entreprise si nécessaire« , révèle Yves Le Provost. A l’intérieur du boîtier, une distribution Linux customisée et surtout une série de scripts destinés à tout automatiser une fois le serveur connecté à une prise réseau (souvent derrière un photocopieur, notamment…). Lire la suite de l'article...
Auteur : Jerome Saiz, Qualys.